Nicaragua, Honduras et Salvador | | | du 30/12/2012 au 06/01/2013 |
| | | Nicaragua |
| | Honduras |
| | Salvador |
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| Récit Nicaragua | |
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| | Bienvenu au Nicaragua ! (frontière Costa Rica-Nicaragua) |
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Après plusieurs semaines de "dolce vita" au Costa Rica, nous avons du mal à nous remettre en route pour rejoindre nos prochaines destinations que sont le Nicaragua, le Honduras et le Salvador, d'autant que nous précipitons les choses en décidant de traverser ces 3 pays en une semaine. En quelques jours, nous allons donc franchir 4 frontières, ce qui signifie que nous allons passer beaucoup de temps à faire des formalités et peu de temps à visiter. |
| | fumigation (frontière Costa Rica-Nicaragua) |
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| On débute donc par le Nicaragua et, non loin de la frontière, par une petite visite sur l'île d'Ometepe, située au centre du lac Nicaragua. Arrivés au bord du lac dans l'après-midi, à San Jorge, nous nous garons sur la plage au milieu des Nicaraguayens qui passent, ici, le dimanche après-midi, en famille. Nous sommes à 2 pas de l'embarcadère des ferries menant à Ometepe. Dans ce pays, réputé comme le plus sûr d'Amérique Centrale, il n'y a pas vraiment à s'occuper de la sécurité et nous pouvons bivouaquer où bon nous semble. Il faut juste ne pas oublier quelque chose dehors car le vent est tellement fort que tout s'envole; même le camping-car est un peu ballotté. |
| | plage de San Jorge avec vue sur les volcans de l'Isla Ometepe |
| | | découverte de l'Isla Ometepe, de ses habitants et de curieux personnages |
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| | Le lendemain matin, nous embarquons à 7h45, avec nos bicyclettes, sur l'un des premiers ferries pour Moyogalpa, le principal village de l'Isla Ometepe. L'île, qui se trouve au milieu du lac, est à plus d'une heure de navigation de San Jorge; il faut dire que le lac Nicaragua est gigantesque, mesurant plus de 8'000 Km2. L'île d'Ometepe est, elle, constituée de 2 volcans, le volcan Concepción culminant à 1610 m et le volcan Maderas à 1494 m, reliés tous 2 par une coulée de lave. Moyogalpa se trouve au pied du premier volcan. En débarquant, nous sommes surpris de trouver autant de vie et de monde mais aussi de constater que la route pavée qui mène jusqu'à la plage de San Domingo est en excellent état. Cette plage, nous l'atteignons vers midi après avoir fait quelques détours dont un par Chaco Verde, une réserve protégée. Le dernier ferry quittant l'île à 16h00, nous manquons de temps pour faire le tour du second volcan; il nous reste juste le temps nécessaire pour terminer le tour du volcan Concepción et revenir à Moyogalpa. Ce que nous ignorions c'est, qu'à partir du village d'Altagracia, la route se transformait en chemin de terre et de cailloux et que la pluie se mettrait à tomber. Nous arrivons de justesse à destination pour embarquer, trempés et couverts de boue. |
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| Pour cette soirée de réveillon, nous restons garés sur le parking de l'embarcadère, craignant de nous faire chahuter par des gens saouls si nous dormons sur la plage car il y en a qui, en début de soirée déjà, on bien arrosé la fin de l'année 2012.Au restaurant proche, nous sommes les seuls à commander à manger; les autres clients ne sont là que pour boire et se saouler. Il n'est pas sûr qu'ils tiennent le coup jusqu'à minuit. Comme nous d'ailleurs car notre longue journée de vélo a eu raison de nous et nous dormons déjà quand nous entendons, à minuit, les 1er pétards annonçant la nouvelle année. "Bonne année, bonne santé et bonne nuit". Les mannequins de feuilles, installés devant les maisons depuis plusieurs jours, seront brûlés... sans nous. |
| | procession, le 1er janvier (de San Jorge à Granada) |
| Le lendemain matin, nous quittons San Jorge pour Granada, une jolie petite ville coloniale. Aujourd'hui 1er janvier, les rues sont désertes. Seuls quelques touristes étrangers occupent les terrasses des restaurants. Après une brève visite de la ville, une coupe de cheveux pour Jean dans un antique salon de coiffure (aux techniques également antiques), quelques courses sur le marché et un repas au restaurant, nous décidons de trouver un endroit plus agréable et surtout moins chaud pour bivouaquer. Nous essayons d'abord de trouver une place au bord de la Laguna Apoyo, toute proche, mais, les Nicaraguayens ayant eu, eux aussi, la bonne idée de venir se rafraîchir au bord du lac, nous ne trouvons pas d'espace disponible pour nous y garer. En plus, les bords du lac sont tellement abrupts qu'il n'est pas facile de s'approcher, en véhicule, de la rive. Nous décidons donc de continuer notre route jusqu'au parc national Volcan Masaya qui a fermé ses grilles exceptionnellement tôt pour cause de nouvel an. Nous devons parlementer pour que les gardes acceptent que nous rentrions pour la nuit. Nous ne regrettons pas d'avoir insisté car l'endroit est très agréable et, après cette chaude journée, presque frais (19°C). |
| | Granada |
| | volcan Nindiri |
| | vue depuis le parking |
| Le lendemain, nous devons attendre 9h00 que le centre d'information du parc soit ouvert pour prendre des renseignements et pour monter en haut des volcans Masaya et Nindiri, les 2 vedettes du parc. Si le volcan Masaya est maintenant éteint, le Nindiri est, lui, toujours actif. Le 30 avril dernier, il a craché quelques pierres (dont une sur une voiture) et c'est pourquoi, désormais, il est obligatoire de porter un casque durant la visite et qu'il n'est plus autorisé de monter sur le point-de-vue de la Cruz de Bobadilla au sommet du volcan. On aperçoit (et l'on sent) cependant les fumées sortant des cratères, depuis le parking. |
| | vue depuis le volcan Masaya |
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| Ce matin sur les volcans et cet après-midi à Léon à seulement une centaine de kilomètres de Somotillo, la frontière avec le Honduras; notre traversée du Nicaragua est décidément très rapide. Léon est une ville très agréable. Son centre historique est riche en bâtiments coloniaux moins bien restaurés que ceux de Granada mais plus "authentiques". C'est également une ville très animée et très commerçante. Le centre-ville est plein de boutiques de vêtement de style "vintage" et l'on se réjouit d'avance de pouvoir renouveler notre garde-robe à bas prix lorsque l'on s'aperçoit que la plupart des vêtements vendus sont des "seconde-main", probablement achetés à des oeuvres de charité et envoyés ici pour vivre une seconde vie. Nos vêtements donnés, en France, à Emmaüs, ont certainement fait un voyage au Nicaragua. |
| | Leon |
| Pour dormir, nous garons le camping-car dans une ruelle derrière l'église El Calvario. C'est tranquille et une légère brise nous permet de tenir le coup après une journée encore très chaude. Pendant que je mets à jour notre site web dans un cyber-café, Jean fait visiter, aux enfants du quartier, le véhicule. Les plus grands sont très intéressés par notre voyage et, contrairement à la plupart des gens que nous croisons sur notre route, ils connaissent les drapeaux et les capitales de tous les pays que nous avons traversés. C'est très étonnant. Le lendemain, l'un d'eux nous apporte une feuille sur laquelle est imprimée et traduite en espagnol une page de notre site. C'est plutôt sympa comme attention, non? |
| | quelques rencontres au Nicaragua |
| Nous ne restons, à Léon, qu'une seule journée, le temps de récupérer notre linge à la laverie, de me faire couper les cheveux et de déguster les délicieuses viennoiseries ainsi qu'un excellent sandwich au camembert de la boulangerie française "Pan y Paz" proche de notre bivouac. Il est rare que l'on craque pour la nourriture française et surtout pour les pâtisseries françaises qui, à l'étranger, sont, en général, surfaites et très chères ou tout du moins ont des prix disproportionnés avec ceux du pays. Notre voyage est à mille lieues des modes et de ce type de snobisme. Mais heureusement, ce n'est pas du tout le cas de cette boulangerie.
En fin d'après-midi, nous sommes à Somotillo. Juste avant d'arriver à la frontière, nous apercevons un "Centro Recreativo", sorte de petit parc d'attraction avec piscine et emplacements pour pique-niquer. Nous demandons la permission de nous y garer pour la nuit. Martha, la propriétaire nous autorise à rester gratuitement et nous propose même de profiter de la piscine. C'est royal et cela termine agréablement notre visite au Nicaragua. Demain, ce sera un nouveau pays, le Honduras. |
| | | Bienvenue au Honduras ! (frontière Nicaragua - Honduras) |
| Pour rejoindre le Salvador, nous devons obligatoirement traverser le Honduras. Pour faire une centaine de kilomètres dans ce pays, nous devons faire les mêmes formalités qu'ailleurs. Heureusement, il n'y a presque personne et notre passage de frontière est rapide. Ici comme ailleurs, il y a des gens qui, contre un pourboire, peuvent vous faciliter le passage de la frontière. En général, ils ne sont pas très utiles car les formalités douanières ne sont pas très compliquées et sont toujours un peu les mêmes. Donc, à chaque fois, nous refusons l'aide de ces gens mais, cette fois, nous nous sommes presque fait avoir en faisant confiance, en arrivant, à une personne vêtue d'un polo qui semblait officiel. Se faire abuser ne serait pas grave mais ce serait tout de même un peu vexant avec notre expérience! Pourtant, nous ne lui en voulant pas d'avoir essayé car il parait bien légitime de vouloir gagner quelques dollars sur le dos des touristes dans un pays où la vie ne semble pas facile. |
| | | sur les routes du Honduras, de la frontière nicaraguayenne de Guasaule... |
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| | | ... à la frontière salvodorienne d'El Amatillo |
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| | En traversant cette partie sud du pays, nous découvrons la pauvreté de ses habitants et la saleté partout. A plusieurs reprises, nous croisons des enfants qui rebouchent les nids-de-poule de cette épouvantable route, entre la douane et la ville de Choluteca, pour quelques pièces de monnaie. Par contre, contrairement aux mises en garde d'autres voyageurs, la police de la route ne nous pose aucun problème. Nous croisons, à plusieurs reprises, des contrôles de police mais personne ne nous arrête. Avant de rentrer dans le pays, nous avions collé des bandes réfléchissantes sur le contour du véhicule comme on nous l'avait conseillé mais, nous avons croisé beaucoup de véhicules qui n'en avaient pas et nous ne sommes pas surs que ce soit obligatoire. D'un autre côté, c'est peut-être la raison pour laquelle la police ne nous a pas cherché de noises. |
| | | | 3ème passage de frontière à El Amatillo |
| Le parcours au Honduras étant très bref, cela nous permet de passer 2 frontières dans la même journée. Pour cette première nuit au Salvador, des amis voyageurs nous ont donné un emplacement dans le jardin d'un restaurant avec piscine, près de San Miguel. Le Salvador ayant la réputation d'être très peu sûr, nous ne nous posons pas de questions et décidons d'y passer la nuit. |
| | | marché de Zacatecoluca |
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| Le lendemain, nous repartons tôt. Nous passons notre journée, en vain, à chercher quelque chose d'intéressant à voir dans ce pays. Pour cela, nous quittons la route principale en direction du sud. Nous traversons quelques petits villages très animés et un peu dépaysants puis nous remontons vers le nord en suivant la route no. 2 avant de remonter vers San Salvador, la capitale et de rejoindre le site archéologique de la Joya de Céren. A notre arrivée sur le site, il est trop tard pour faire la visite et le gardien refuse que nous restions sur le site pour la nuit. Il nous conseille un parc à thème tout proche où nous nous rendons. Après une demi-heure d'attente et de palabres pour savoir si nous pouvons ou non rester sur place, l'employé nous demande 25 US$ (le dollar américain est la monnaie du pays) pour la nuit, somme qu'il réduit immédiatement à 10 US$ en voyant nos gros yeux. 10 US$, c'était le montant que nous étions prêts à donner pour rester mais, pour montrer que nous n'aimons pas nous faire prendre pour des imbéciles, nous préférons partir et tant pis si nous ne trouvons rien pour dormir près du site. Pour information, la journée, dans ce parc, coûte 1 US$ par personne! Nous ne verrons donc pas la Joya de Céren et c'est dommage mais nous aurons l'occasion de revoir d'autres ruines. |
| | traversée du pays par la route 2 |
| | point-de-vue sur San Salvador |
| | la route de Los Naranjos (région du café) |
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| Nous devons faire encore pas mal de kilomètres pour trouver un endroit où passer la nuit. Dans la montagne, à 1470 mètres d'altitude, au milieu des plantations de café, nous nous garons sur le parking d'un restaurant charmant. Mais décidément, il était dit que nous ne garderions pas une bonne image du Salvador car, alors que nous nous étions entendus avec le serveur pour passer la nuit gratuitement si nous dînions au restaurant, celui-ci vient nous voir, après le repas, pour nous réclamer 10 US$ de plus car il avait oublié de nous dire que nous devions manger pour 50 US$ minimum pour ne payer. On lui répond qu'on n'accepte pas ses nouvelles règles et on va se coucher sans rien donner. Certains finiront par penser que ce genre de mésaventures nous arrivent souvent, et bien, pas du tout, c'est très rare que l'on ait affaire à des gens qui veuillent profiter de nous. |
| | sud-ouest : région de la canne à sucre |
| Le comportement de ces 2 personnes est une raison de plus pour ne pas s'éterniser dans le pays alors, après une excellente nuit passée en montagne, nous quittons le Salvador et rentrons au Guatemala par la douane de La Hachadura. |
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En conclusion...
Faute de routes dans les parties du centre et de la côte caraïbe, nous n'avons découvert, du Nicaragua, qu'une infime partie du pays. Toutefois, nous avons eu le temps d'apprécier la gentillesse et la tranquillité de la population. A l'opposé, le Honduras et le Salvador nous ont paru beaucoup moins intéressants à visiter en camping-car. Le but de voyager, avec ce moyen de transport, est de pouvoir aller où l'on veut mais si, comme dans ce pays, la sécurité n'est pas assurée, cela devient beaucoup trop contraignant et peu intéressant.
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| | | | la gentillesse des Nicaraguayens |
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| | la saleté et l'insécurité au Honduras et au Salvador |
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| | le comportement intéressé de certains Salvadoriens qui n'est bien sûr pas une généralité au Salvador |
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| | | Dates, nombre de kilomètres parcourus et étapes (description, coordonnées GPS, commodités) Cliquer sur l'image pour ouvrir le fichier
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| | NI-San Jorge 1 (Isla Ometepe) |
| | NI-PN Volcan Masaya |
| | NI-Leon |
| | NI-Somotillo |
| | SA-El Triunfo |
| | SA-Los Naranjos |
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NICARAGUA |
Dates |
du 30/12/2012 au 04/01/2013 |
Décalage horaire |
+ 7 h / France en hiver; + 8 h / France en été |
Monnaie |
le cordoba (CRD) change 1 € = 31.10 CRD |
Coût de la vie |
peu élevé |
Langue |
espagnol |
Climat |
décembre/janvier : temps chaud et ensoleillé la journée (de 30 à 35°C) avec des nuits relativement fraîches (de 19 à 23°C). Une seule averse. |
Douane : entrée |
CR/Penas Blancas - Sapoa (N11 12.686 W85 36.654) En arrivant devant la guérite, on nous remet un formulaire à remplir puis, on doit s'arrêter devant le tunnel de fumigation. On paye 3 US$ sur place et on fait passer le véhicule dans le tunnel pour le traitement. Se garer ensuite devant le bureau d'immigration. nous : 1) payer 1 US$/pers de taxe municipale 2) au guichet de l'immigration, présenter les passeports et payer 10 US$/pers + 4 US$. Une autorisation de 90 jours nous a été délivrée. camping-car : le bureau des douanes se trouve juste après celui de l'immigration (bureau entièrement vitré) 1) trouver le douanier qui doit viser le formulaire dûment rempli distribué à l'entrée; il doit se trouver à l'extérieur en train de contrôler, juste devant le bureau 2) aller dans le bureau de la douane et souscrire une assurance obligatoire (12 US$) 3) payer une taxe touristique de 5 US$ 4) avec le formulaire visé par le douanier, l'assurance, la carte grise, le passeport et le permis de conduire du conducteur principal, faire établir la demande de permis de circuler 5) faire viser le document établi par le policier se trouvant sur place Une autorisation de 90 jours nous a été délivrée. |
Douane : sortie |
Somotillo - HO/Guasaule (N13 03.747 W86 56.881) nous : au bureau de l'immigration, faire tamponner les passeports pour valider la sortie et payer 2 US$/personne camping-car : dans le bureau des douanes se trouvant un peu avant le bureau d'immigration, rendre l'autorisation d'importation temporaire obtenue à l'entrée dans le pays. |
Assurance camping-car |
Assurance obligatoire. 12 US$ pour 1 mois, soit 9.50 € prise à la douane de Sapoa (N11 12.686 W85 36.654) |
Nombre de km |
399 |
Nombres de jours - nuits |
5 |
Nombre de nuits "gardées" |
3; il n'y a pas de problèmes de sécurité au Nicaragua et les bivouacs "sauvages" sont assez faciles. |
Diesel |
diesel : 29 CRD/l environ 0.93 €/l; Le diesel étant de mauvaise qualité, nous ajoutons de l'additif acheté au Costa Rica |
Eau |
aux bivouacs; eau potable |
Electricité |
110 V - prises à 2 fiches plates parallèles nécessitant un adaptateur. camping-car : nous avons basculé l'interrupteur de la centrale électrique sur 110 V au lieu de 220 V |
Gaz |
Remplissage de bouteilles : Nous avons pu faire remplir notre suédoise Usine Tropigas - à l'entrée sud-est de Chinandega 260 CRD / 12 Kg soit 0.70 € / Kg (N12 36.926 W87 05.933) |
Routes et autoroutes |
toutes les routes que nous avons prises étaient en excellent état sauf une au sud de Léon que nous aurions pu éviter. |
Internet |
quelques réseaux wifi non sécurisés. Dans les cybercafés, 10 CRD/h, soit 0.32 €/h (peu acceptent que l'on connecte son propre ordinateur) |
Laveries |
Léon (en face de l'hôtel-restaurant Via Via) : 100 CRD / 4 Kg lavé et séché en 1 journée, soit 0.80 € / Kg |
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HONDURAS |
Dates |
le 04/01/2013 |
Décalage horaire |
+ 7 h / France en hiver; + 8 h / France en été |
Monnaie |
le lempira change 1 € = 25.32 lempiras. A la douane, on peut payer en US$ |
Langue |
espagnol |
Douane : entrée |
NI/Somotillo - Guasaule (N13 03.747 W86 56.881) se garer sur le parking à gauche des bâtiments d'immigration et des douanes. Le bureau d'immigration se trouve dans le bâtiment (1er bureau) au-dessus de celui des douanes (dernier bureau) Les démarches sont simples et on n'a pas besoin d'une des nombreuses personnes qui se proposent de nous aider (Attention, celles qui ont un polo qui semble officiel ne font pas partie du personnel des douanes). Les frais peuvent être payés en Lempiras ou en US$ nous : au bureau d'immigration, remplir un formulaire d'immigration, présenter les passeports et payer 3 US$/pers (ou 60 Lempiras). Nous avons eu un visa de transit de 72 heures. camping-car : au bureau des douanes, présenter la carte grise du véhicule, le passeport et le permis de conduire du conducteur principal ainsi que 3 photocopies de chaque document. Payer 35 US$ (ou 700 Lempiras). Nous avons obtenu une autorisation de circuler de 90 jours. |
Douane : sortie |
SA/El Amatillo (N13 35.807 W87 45.895) nous : au bureau d'immigration, présenter les passeports pour valider la sortie du pays camping-car : dans le bureau des douanes se trouvant à côté du bureau d'immigration, récupérer un formulaire, le remplir et le porter, accompagné de l'autorisation de circuler remise à l'entrée dans le pays et du passeport du conducteur principal à l'agent se trouvant à la frontière, juste avant le pont. |
Assurance camping-car |
pas d'assurance |
Nombre de km |
138 |
Nombres de jours - nuits |
0 |
Routes et autoroutes |
l'état de la route que nous avons empruntée allait de très mauvais à passable |
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SALVADOR |
Dates |
du 04/01/2013 au06/01/2013 |
Décalage horaire |
+ 7 h / France en hiver; + 8 h / France en été |
Monnaie |
le dollar américain (US$) change 1 € = 1.3 US$ |
Coût de la vie |
faible |
Langue |
espagnol |
Climat |
janvier : chaud et ensoleillé avec des nuits plus fraîches |
Douane : entrée |
HO/El Amatillo (N13 35.807 W87 45.895) nous : au guichet d'immigration, présenter les passeports. Il n'y a pas d'inscription sur le passeport car le visa de 90 jours délivré au Nicaragua est valable également pour le Salvador. camping-car : faire 4 km en direction de San Miguel et prendre le chemin se trouvant à gauche juste avant la barrière barrant la route. Au bout de ce chemin, se trouve le bureau des douanes. Présenter la carte grise du véhicule, le passeport et le permis de conduire du conducteur principal ainsi qu'une photocopie de chaque document. Remplir un formulaire. Le douanier nous remet une autorisation de circuler de 60 jours ainsi qu'une photocopie de ce document que l'on remet à l'agent se trouvant sur la route principale devant la barrière. |
Douane : sortie |
GU/La Hachadura (N13 51.590 W90 05.213) Se garer devant le bureau d'immigration (1er bâtiment) nous : présenter les passeports au bureau d'immigration pour valider la sortie du pays. On nous a remis un petit papier à conserver jusqu'à la sortie camping-car : dans le bâtiment se trouvant derrière celui de l'immigration, se trouve la douane. Présenter le permis de circulation obtenu à l'entrée dans le pays ainsi que le passeport du conducteur principal. On nous remet alors une copie du permis de circulation. Pour sortir, présenter le petit papier remis à l'immigration ainsi que la copie de l'autorisation de circuler; cette dernière nous étant rendue et utile pour l'entrée au Guatemala. |
Assurance camping-car |
pas d'assurance |
Nombre de km |
463 |
Nombres de jours - nuits |
2 |
Nombre de nuits "gardées" |
2; vrai ou pas, le Salvador a la réputation d'être un pays très dangereux. Nous avons donc préféré dormir dans des lieux surveillés. |
Diesel |
diesel : 4.10 US$ environ le gallon (3.8l) soit environ 0.83 €/l; |
Routes et autoroutes |
les routes principales sont en très bon état; les routes secondaires ont souvent quelques nids de poule |
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